Fuite de la grande salle

Elisabeth venait juste de sortir de la grande salle.
Le hall d'entrée était bien mieux à son goût, c'est à dire beaucoup moins bruyant et ici, elle ne devait pas supporter de voir le nombres d'élèves envoyés à Poufouffle ou à Gryffondor.
Une vraie torture que de devoir voir cela.
Enfin, aujourd'hui c'était une torture mais demain ce serait différent. Elle s'amuserait mieux s'il y avait plus de personne avec qui 'amuser justement.

La jeune fille s'avança dans le hall, presque indifférente au spectacle fantastique de ce lieu.
Elle le connaissait depuis 4 ans maintenant, et elle connaissait le château parfaitement.
Au début bien sûr il n'était pas évident de s'y retrouver mais maintenant elle ne se perdait plus jamais.
Enfin c'était plutôt normal pour quelqu'un qui commençait sa 5e année dans cet établissement.

Elisabeth avançait toujours lentement la tête dans les nuages.
Elle savait que presque tout le monde était dans la grande salle ce qui lui permettait d'être un peu seul ici mais elle ne s'attarderait cependant pas trop.

"Je me demande bien où est passée Cornélia."

Elisabeth ayant l'habitude de parler à voix haute quand elle était seule ne se privait pas ici même si quelqu'un aurait pu l'entendre.
Bien trop occupée à se demader où était passé son amie, Elisabeth ne prettait vraiment attention à rien.

A vrai dire, la jeune fille n'était pas si seule que ça dans ce grand hall... Car une autre personne avait fui le bruit de cette salle festive, un de ceux qu'elle s'était répugnait à voir envoyé dans une maison qu'elle méprisait ! un Poufsouffle, un vrai, un pur ! Ses longs cheveux rougeoyants se balançaient au rythme de ses pas sur ses hanches, insistant sur la minceur de sa taille, la finesse de son visage, bref son apparence féminine !

Ses yeux emmeraude se portaient avec curiosité sur tout ce qui l'entourait, tout lui paraissait immense dans cette école, enfin ce château plutôt, école paraissait trop minimaliste ! Il sortit délicatemet Blanchette qui commençait à remuer activement dans sa poche il la prit dans ses mains, puis la déposa sur son épaule... Il fallait espérer que le petit monstre n'allait pas s'emmêler les pattes dans la chevelure de son maître et ami, mais sans doute que non, puisqu'elle alla se coller contre sa peau avec un couinement de contentement. Ce qui arracha un sourire au garçon, un peu trop féminin !

"Bon maintenant on va essayer de pas se perdre, pas vrai ? "murmura-t-il en se croyant lui aussi tout seul !

Mais en fait, il aurait vu la jeune fille juste devant lui, qu'il se serait sans doute quand même parlé ! Il remit distretement une mèche derrière son oreille, en réfléchissant à le direction qu'il devait prendre. Il n'aurait peut-être pas dû sortir sans avoir écouter ce que les prefets disaient...

(pas très long mais bon ^^")

Elisabeth aurait très bien pu entendre la voix qui se rapprochait d'elle mais elle était bien trop plongée dans ses pensées pour ça.
Aussi, elle ne se rendit compte qu'il y avait quelqu'un que lorsqu'elle fonça littéralement dedans.

Elle fut projetée quelques pas en arrière et leva les yeux vers la chose et dans ce cas ci la personne qu'elle venait de heurter.
Elisabeth regarda cette personne bouche bée pendnt un moment, un cours moment durant lequel elle repris bien vite ses esprits.
elle lança un regard froid vers cette fille ou plutôt ce garçon, oh et puis ce n'avait pas grande importance.

Ce que la jeune fille vit facilement c'est que c'était un poufsouffle. De toute façon, il n'aait surement pas la tête d'un serpentard.
A cette pensée, Elisabeth fit l'ébauche d'un sourire qui persista sur ses lèvres malgré la froideur de son regard.

"On ne vous a jamais appris à regarder où vous allez?" demanda t'elle d'un ton parfaitement neutre avec même un note de courtoisie.

Mais bon, vus que c'était elle qui venait de le heurter de pleun fouet, sa question était plutôt mal venue.
C'est ainsi qu'on pouvait remarquer qu'elle n'était pas aussi aimable que le laissait sous-entendre le son de sa voix.

Elisabeth continua de le fixer.
Elle essayait de deviner si elle avait affaire à une fille ou un garçon et son regard le scrutait, elle ne s'arrêterait surement pas avant d'avoir trouvé une réponse.
D'un geste gracieux de la main, Elisabeth dégagea quelques mèches de cheveux de ses yeux pour mieux l'observer.

Les totrs étaient sans doute partagé, puisqu'aucun ne regardait où il allait... Ce qui se finit comme c'était prévisible par un carambolage, et deux paires de fesses pour laver le carrelage, car le garçon aussi arriva par terre... franchement costaud comme il était, ce n'était pas étonnant !
Mais par oposition au comportement de la jeune fille, le poufsouffle resta incroyablement calme, à vrai dire il était dans ses coutumes de finir par terre alors ça ne l'offusquait pas plus que cela. Il releva la tête pour voir dans qui il avait foncé, lui n'eut aucun doute, dans une jeune fille plus agée que lui, de serpentard... Serpentard... Mais cela n'appeura pas le garçon, ni le troubla...

"Pardon...ça n'a pas dû figuré dans mon éducation...."répondit-il d'un ton neutre.

Il préfera vérifier si Blanchette n'avait rien eu en s'assurant qu'elle se tenait toujours dans son cou, elle y était, tant mieux. Il se releva en eppoussetant ses vêtements. Puis fixa la jeune fille de son regard assez inexpressif alors que sur ses lèvres planait son éternel sourire, si étrange... Les cheveux du garçon eux revinrent devant ses yeux, comme quoi, même les cheveux des élèves de ces maisons s'opposent !

"Hum pardon, est-ce que je pourrais passer ? "

alors là, ça frolait l'insolence pourtant ce n'était qu'une question simple pour demander de lui laisser le passage libre, mais bon... Il y avait différentes interprétations....

Elisabeth ne bougea pas de l'endroit où elle se trouvait, c'est à dire bien sûr en plein milieu du passage.
Elle se contenta de fixer son interlocuteur d'un même regard inexpressif que celui qu'elle rencontrait en face d'elle.
A la seule différence peut être que quand elle avait ce regard là, on aurait dit qu'elle était complètement ailleurs.

Elle revint sur terre après quelques instants et fixa en soupirant le poufsouffle.
C'était bien les nouveaux mais dans un sens il fallait tout leur apprendre et ça c'était une perte de temps pas inutile bien sûr mais une perte de temps quand même.

"Au moins maintenant vous vous en souviendrez peut être..."

Au fond, cette phrase sonnait un peu comme une menace malgré le ton doux sur laquelle elle avait été dite. en fait justement c'était peut être ce ton qui rendait la phrase si bizarre.
Elisabeth ne se troubla pas à la question posée. On aurait pu croire qu'elle ne l'avait pas entendue si on ne vyait pas ses yeux qui suivait chaque mouvemant ou son sourire qui donnait à son visage un air innocent assez surfait.

"Je vous en prie."

Rien d'autre que cette phrase, aucun mouvement pour se mettre sur le côté ou pour avancer.
Elle restait juste là à triturer une mèche de ses cheveux courts et à promener son regard un peu partout autour d'elle sans aucune surprise ou admiration. Ce lieu lui était bien trop habituel pour ça.

Clélia sortit presque en courant de la Grande salle et, une fois fermées, s’appuya contre les majestueuses portes pour reprendre ses esprits.
Ce château était beaucoup plus impressionnant qu’elle ne l’avait imaginé !
Et puis il y’avait tant de monde… Clélia n’aimait pas la foule, surtout celle la, pleine de gens qui criaient dans tous les sens, cette agitation presque dangereuse… tout cela, ce n’était pas pour elle.
A cette heure-çi, la salle commune des Serdaigles (car c’était sa maison) serait sûrement vide et elle comptait s’y rendre, son rat Henoch sur l’épaule.

Clélia soupira. Elle n’était pas seule évidemment. Deux personnes se trouvaient juste devant l’escalier qui conduisait à la tour des Serdaigles…
Elle passerait devant sans les regarder, évitant le moindre contacte, comme d’habitude.
Elle reprit donc sa marche lente et digne, passa devant eux presque sans se faire remarquer et commença à gravir les marches. Elle était maintenant à une bonne dizaine de mètres d’eux lorsque son rat, flairant l’odeur d’une souris, sauta de l’épaule de la jeune fille et se précipita vers les deux personnes à la recherche de cet animal.

Clélia se retourna vivement et fit de vains efforts pour rappeler son rat.« Psss Henoch ! » chuchota-t-elle « Henoch ! Reviens ici ! Je t’en pris ! »

Mais le rat n’en faisait qu’à sa tête et gambadait autour de Lloyd…

Lloyd non plus ne bougea pas, étrangement stoique, peut-être était-il inconscient en tenant tête à cette jeune fille... Mais tenait-il vraiment tête ? Non, il était seulement lui... Ses yeux toujours sans émotion dans ceux de son interlocutrice, barrés de quelques mèches rouges. Etait-il vraiment là ? Etait-il ailleurs ? Le savait-il lui même...
Tout lui apprendre ? Ah non il savait très bien recevoir les coups déjà.... Il avait eu un très bon entraînement... Le garçon hocha d'une manière lasse la tête sans grande conviction. On pouvait bien lui dire ça, il n'arrêterait quand même pas d'être maladroit, menace ou non...

"Merci... Mais pourriez vous vous pousser ? "demanda-t-il d'une voix sans ton, en la fixant toujours dans les yeux.

Il vit passer une jeune fille à coté d'eux, il ne sut pas pourquoi, mais Blanchette se précipita dans sa poche en couinant, manquant de tomber par terre. Il regarda partout pour trouver la cause de la peur panique de l'annimal. Il ne tarda pas à la trouver, par terre en train de gambader... Il s'accroupit en oubliant totalement la présence de l'élève de cinquième année ! Le garçon tendit une de ses main vers le rat, celui-ci renifla le bout de ses doigts avant de grimper timidement dans celle-ci.

"Qu'est-ce que tu fais là ? tu as senti Blanchette c'est ça ? Je suis désolé, mais elle et très peureuse, mais avec le gallant homme que tu dois être... "chuchota-t-il en carressant son pelage.

Il devait avoir un truc pour parler plus facilement avec un animal, qu'avec un humain... Fallait dire que les animaux l'aimaient bien, mais il ne lui avait encore jamais répondu ! Mais il réussissait a faire apparaître de jolis sourires comme celui qui prennait place sur ses lèvres.

Elisabeth poussa un soupir fort distinct en regardant les deux personnes qui en plus d'elle même se trouvaient maintenant dans le hall.
Question tranquilite elle pouvait repasser!
Elisabeth avait une sainte horreur des rats et de tout ce qui y ressemblait. Bizarrement cependant les souris ne l'effrayait pas trop, enfin tant qu'elles restaient à bonne distance.

"Oh mais je me pousserais volontiers si j'en avais envie."

Elisabeth le fixait toujours, le regardant avec une grimace de dégoût tenir le rat dans sa main.
Elle se demandait bien comment on pouvait supporter une chose aussi horrible et effrayante.
Elle plaça ensuite son regard sur la fille qui accourat chercher l'animal. Une serdaigle et de première année en plus.
Mis quel malheur de ne pas pouvoir trouvé quelqu'un de bien dans ce couloir! Quite à ce qu'il y ait su monde autant que se soit des gens un peu intéressants!

Elisabeth toujours en plein milieu du passage avait repris un air parfaitement neutre face au rat.
Elle souriait distretement avec les yeux dans le vague comme si elle pensait tout à fait à autre chose ce qui en ce moment n'était pas faux.
Autant laisser ce garçon où il était tant qu'il avait cette bête entre les mains.
La jeune fille se contenta juste de passer une main dans ses cheveux pour continuer ensuite à entortiller lentement une mèche de cheveux autour de son doigt.

Clélia se redressa en soupirant.
Henoch était à présent perché sur le bras du jeune homme.
Si Clélia n’était pas sociable, son rat l’était pour elle !

Lentement, elle descendit les marches. Elle allait devoir leur parler ou tout du moins au garçon qui tenait son rat. La perspective de devoir engager la parole la fatiguait d’avance, il allait falloir raconter pour la énième fois où elle l’avait acheté, comment il s’appelait, quel âge il avait… comme si c’était intéressant ! Clélia ne supportait pas les gens qui prenaient les animaux pour des peluches « absolument adorables »…

Pourquoi avait-elle un rat au fait ? Clélia se souvenait de son arrivée dans l’animalerie magique. Son grand-père lui avait demandé de choisir un animal pour l’emmener à Poudlard favorisant bien sur, les hiboux postaux mais Clélia était allée tout naturellement vers le rayon rongueur. Elle avait tout de suite remarqué ce rat qui semblait être totalement à l’opposé de son caractère à elle. Il sautait partout, grimpait sur les barreaux, couinait, reniflait, sautait par dessus les autres rats endormis…

Et malgré la grimace qu’avait fait son grand-père, elle l’avait acheté.

Voilà, elle était arrivée au pied de l’escalier, en face du jeune homme qui s’avérait être à Poufsouffle et avait totalement ignoré la jeune fille qui paraissait bien plus âgée qu’eux.
La situation n’était pas très normal, qu’est-ce qu’un 1er année (et à Poufsouffle qui plus est) faisait-il avec une élève de 4ème année, à serpentard ?
Peut être qu’il se faisait réprimander…

« Rends moi mon rat »dit-elle directement d’un ton plus froid qu’elle ne l’aurait voulu.
Elle laissa passer un temps avant d’ajouter plus gentiment : « S’il te plaît. »
Et elle ajouta un sourire, un tout petit sourire certes, mais il y était quand même.

La personne la plus surprise par cette marque de sociabilité fut Clélia elle même. Il ne lui arrivait presque jamais de sourire à des inconnus surtout lorsque ceux ci s’étaient appropriés son rat.
Mais pour une raison inexplicable, ce début de sourire lui était venu automatiquement devant l’allure du jeune garçon.
Il paraissait tellement… faible. Pas faible physiquement mais psychologiquement, comme si la moindre brise de vent pouvait l’emporter.

Enfin, il n'avait duré qu'une seconde et Clélia s'était immédiatement reprise et continuait de toiser l’inconnu en attendant qu’il fasse ce qu'elle lui demandait.

Le garçon ne répondit pas à la serpentarde, d'ailleurs, il n'aurait rien eu à répondre.... Elle n'avait pas envie de se pousser, et bien soit, mais qu'elle ne se plainge pas s'il la bouscluait malencontreusement après tout... Si elle avait un sale caractère ce n'était pas le problème du poufsouffle... Il était bien plus occupé à converser avec le rat... Il ne savait pas son nom, mais il ne le demandrait pas, après tout, cen'était que des matricules que donnait les maître à leurs animaux... Rien que par cela on aservisait en queque sorte la créature, mais c'était tout de même bien pratique...

Le rouquin releva la tête, légerement surpris, il n'avait pas entendu la jeune fille venir, il tressaillit d'ailleurs légerement... Rendre son rat... Il ne comprit pas tout de suite que rendre signifier confier le rat... Car on rend un stylo un objet, pas un animal, il n'appartient à personne, c'est une identité à part entière, un être vivant indépendant, un ami... Mais il n'allait pas exposer ses convictions, elles pourraient faché, et il serait fort facheu de commencé à se faire des ennemis dès le premier jour...

Il commençait à réagir quand le "s'il te plait" fut rajouter, mais à vrai dire il aurait-été absent que cela n'aurait pas choquer l'élève, il avait l'habitude avec sa jumelle... Son sourire à lui, s'était restreint, comme toujours, seuls les "non-humains" réussissait à en avoir des vrais ! La seule exception à cette règle était sa tutrice. Et il aurait été encore plus petit s'il avait appris que la sympathie de la jeune fille lui venait de sa "faiblesse", il detestait faire épprouver la pitié.

"Et bien au revoir monsieur le rat, désolé la miss que tu as flairé préfère se cacher ..."murmura-t-il en déposant l'animal sur l'épaule de son possesseur.

Lloyd regarda le petit monstre s'installait plus confortablement avec un fin sourire, la jeune fille avait un charmant ami, fort sympathique et très sociable ! Il détourna son regard de le bêbête, pour regarder sa maîtresse.

"Je suis désolé, il est venu vers ici, je ne savais pas qu'il vous appartenez..."s'excusa-t-il platement, en la vouvoyant !

Ses yeux nexprimaient pourtant pas grand chose, peut-être une légère culbabilité entre tous ces reflet de vert....

Attendant que le Poufsouffle ai finit de converser avec le rat et puisse enfin le lui rendre, Clélia l’observa plus attentivement de ses yeux inexpressifs.
Dans son désir de partir le plus vite possible, elle avait à peine prit le temps de le regarder vraiment.
Clélia n’avait jamais vu une allure pareille.
De longs cheveux rouges… elle se demanda une seconde si elle ne s’était pas trompée et que ce garçon n’était pas en réalité une fille…
Mais non, sa voix était bien trop masculine pour être celle d’une fille de onze ans.
Quant à ses yeux… Clélia ne put s’empêcher de penser qu’ils étaient réellement magnifiques. D’un vert… ou plutôt de plusieurs verts mélangés ou se trouvaient emmêlés tous les sentiments qu’il pouvait ressentir et qui passaient dans ses yeux.
La jeune fille se rendit soudain compte que cela faisait une minute qu’elle le fixait et que cela n’était pas très discret.
Aussi, lorsqu’il releva la tête pour lui parler, elle détourna –trop rapidement peut être- les yeux et fixa un point vague, sur le côté.
Ce ne fut que lorsqu’elle sentit le poids du rat sur son épaule qu’elle reprit son attention sur le jeune homme.
Clélia haussa les sourcils lorsqu’elle l’entendit s’excuser en la vouvoyant. Certes c’était une marque de respect mais elle n’en demandait pas tant, elle voulait juste son rat et enfin partir.

« Oui… ce n’est pas grave. » dit-elle sans le regarder.
« Au revoir »
Sa conversation était vraiment pauvre mais elle n’avait pas eu le reflex d’inventer une excuse pour partir poliment, elle préférait dire les choses directement. Elle n’aimait pas être la, elle partait, c’était comme ça.

Clélia se retourna et eut un hoquet de surprise.
Pile en face d’elle, à environ vingt centimètres d’elle, se trouvait la serpentarde qui fixait le vague, absente, une mèche de ses cheveux blonds enroulée autour de son doigt.
Elle bouchait complètement le passage évidemment et Clélia se retrouva prise en sandwich entre le garçon aux cheveux rouges et cette fille aux allures méprisantes.
Son rat s’avança un peu pour flairer l’inconnue.
Quant à Clélia, elle se contentait de la fixer avec une expression incrédule.
Elles étaient si proches toutes les deux que la fille ne pouvait pas ne pas l’avoir remarquée.
Pourquoi ne s’écartait-elle pas du passage ?

« Pardon » dit-elle haut et fort pour faire lui faire comprendre qu’elle voulait passer.

[bon, déjà que te viens squatter dans la convers sans demander mais si en plus tu répond quand c'est mon tour ça va plus trop là!
J'ai pas pu répondre avant aujourd'hui alors ça pouvait pas te faire du mal d'attendre! Merci!]

Elisabeth c'est vrai bouchait completement le passage. Elle ne s'en souciait pas vraiment, en fait, si les deux autres avant envie de passer eh bien qu'ils passent.
La jeune fille fixait le rat qui à son grand desespoir se trouvait bien trop d'elle à son goût. Son dégout s voyait sans problème su son visage grace à la magnifique grimace qu'elle fit en fixant le rat.
Pourtant, croire qu'elle allait se bouger juste à cause de ça était une erreur.
Elisabeth se contenta de fixer le rat l'air mauvais comme pour le dissuader de s'approcher sous peine d'avoir de graves ennuis. En général, se regard découragea surtout les maitres, s'ils ne voulaient pas que quelques choses arrivent à leur animal, mieux valait le garder hors de portée de la serpentard.

Quand la serdaigle lui demanda pardon pour passer, Elisabeth se contenta de la regarder. Ses yeux bkeu acier pour l'instant ne la quittaient que pour se reposer quelques fois sur cette sale bête sur son épaule.
Quelle idée d'avoir un rat de compagnie. D'ailleurs cela ne sonnait pas bien de dire un rat de compagnie!

"Je vous en prie." répondit elle de sa voix mélodieuse sans avoir l'air de se rendre cmpte qu'elle bouchait le passage.

Bien sûr, il était plutôt évident qu'elle le faisait exprès et même un vulgaire élève de première année et pire encore une serdaigle pouvait sans trop de problème s'en rendre compte.

Elisabeth pencha la tete sur le côté d'un regard tout à fait innocent, ses yeux avaient repris une teinte bleu azur et ne semblaient plus contenir aucune animosité.
Un léger sourire vint même effleurer ses lèvres quand elle fit un geste de la main pour encourager la fille à passer alors que bien sûr elle n'avait pas bougé d'un centimètre.
Si elle voulait passer, rien ne l'en empéchait.
Enfin presque rien.

Comme quoi son apparence le couvrait, personne ne savait ce qu'il était sauf quand il parlait, mais comme c'était plutôt rare... Peut-être pourrait-il devenir imitateur de vélane... Il en avait sans doute la beauté... Mais son inexpressivité ne jouait pas en sa faveur...
Il ne se rendit pas compte de la gêne de la jeune serdaigle, à vrai dire, il n'y faisait même pas attention... Avait-il déjà fait attention à quelqu'un véritablement ? Peut-être, peut-être pas... Il la regarda partir sans faire un geste. Si elle voulait partir qu'elle parte, il ne fit d'ailleurs aucun mouvement pour la prévenir qu'une serpentarde allait lui barrer la route comme à lui ! Il sourit légerement en voyant qu'au moins il n'était pas le seul qu'on empêchait de passer... Mais apparemment, les moyens employés par la détentrice de M.Rat n'étaient pas plus éfficaces que les siennes... Et la proximité d'un rat importunait cette vieille !

Elle grimaçait à le vue deM.Rat ! Mais pour qui se prennait-elle ? Peut-être était-elle meilleure qu'un rat ? Nul doute que la réponse était négative ! Alors il décida de prendre la défense du rat ! N'avais-je point précisé que Lloyd ne supportait pas qu'on dénigre de quelque manière que ce soi un animal ! Il avança donc, comme si de rien était et tenta de déblayé le passage ... Ce qui se traduit par le fait qu'il fonça littéralement dans l'élève bien plus agée que lui, ce qui les ammena tout deux par terre !

"Oh pardon je ne vous avez pas vu..."s'excusa-t-il avec un sourire qui lui était habituel.

"Mais vous ne voyez donc pas que vous bouchez totalement le passage ??" demanda Clélia, interloquée.

Cette fille était-elle stupide ?
Aveugle ?
Ou tout simplement avide de créer un conflit ?

La dernière solution semblait la meilleure.

Mais Clélia n'eut pas le temps d'en dire plus, le poufsouffle venait de renverser la jeune fille.
Le silence se fit.
Henoch émit un petit couinement d'encouragement.
La scène était maintenant plus qu'étrange.
Un poufsouffle en 1er année seulement était debout, à ses pieds se trouvait une serpentarde de 5ème année.
Même si Clélia vivait ses premiers jours à Poudlard, elle sentait bien que d'habitude, c'était l'inverse qui se produisait.

Trois solutions s'imposaient à elle.
A présent, le chemin était libre donc elle pouvait tout à fait rejoindre sa salle commune en laissant le poufsouffle se faire détruire.
Elle pouvait aussi rester la, à regarder bêtement.
Ou alors, elle pouvait aider le garçon, chose bien inutile puisqu'elle ne connaissait que deux sorts qui étaient "Lumos" et "Nox", donc pas très utiles pour des combats.
Quant à se battre à mains nues, elle n'y pensa même pas.

Non, décidément non, elle ne pouvait pas rester. Cette histoire ne la regardait pas.
Elle commença à faire un pas pour enjamber la serpentarde lorsque son rat descendit de son épaule pour monter sur celle de Lloyd comme si il semblait solidaire avec lui.

*Oh non...* pensa-t-elle.
Elle n'était pas prête de rejoindre sa confortable et rassurante salle commune...

Elisabeth avant même d'avoir pu faire un mouvement se retrouva par terre.
Quelque peu sonnée au début, elle regarda le poufsouffle sans vraiment le voir.
Enfin, Elle fixa un peu mieux le garçon et sourit l'air désolée.

"Vous ne m'aviez pas vu?
Oh, vous savez ce n'est pas bien grave, ça ne fait jamas que la 2e fois aujourd'hui."

La jeune fille n'ajouta rien mais continua de regarder l'élève de première année avec un air complètement désolé qui s'adressait sans doute possible à celui ci.
Elle aurait pu se relever, mais non, Elisaeth ne fit même pas un mouvement pour bouger.
Elle se contenta seulement de ramener les jambes près d'elle pour s'assoir en tailleur. Elle était bien mieux comme ça. Elle commençait à avoir mal au pied avec ses bottes à talons.

La jeune fille pencha la tête sur le côté tout en passant une main dans ses cheveux et en souriant.
La personne qui pourrait lui faire perdre son calme n'était pas encore arrivée.
Non pas qu'elle prenait tout très bien, mais il n'y avait aucun interêt de s'enerver et de gaspiller de l'energie pour ces gens là!

Elle porta sa main à sa bouche pour étouffer un baillement.
Ces premières années étaient moins marrants que ceux de l'année dernière. Elisabeth espérait qu'elle allait vite retrouver ses amies parce que bon, pour le moment elle ne s'amusait pas du tout.
S'amuser avec des élèves qui ne semblait pas vouloir s'amuser était d'un ennui.
Pourquoi donc avaient ils toujours l'air aussi sérieux?

Elisabeth se demanda finallement si se remettre ebout ne serait pas mieux, elle allait salir ses vêtements à rester assise là sur le sol.
Avec un soupir de regret, la jeune fille se releva et époussiera son pantalon avant de regarder de nouveau les deux personnes en face d'elle.

"Ma chère, je ne vs ai jamais empéchée de passer, c'est vous qui restez plantée là à me regarder bêtement." répondit Elisabeth à la serdaigle.

Elle avait adopté un ton neutre, même un peu douceureux qui ne servait qu'à montrer qu'elle ne plaisantait pas et qu'il valait mieux croire tout ce qu'elle disait.
Enfin presque tout bien sûr...

"Non , vraiment je ne vous ai pas vu... Je suis étourdi vraiment... Deux fois dans la même journée..."répondit-il sans faire un geste pour l'aider à se relever.

Il venait juste de réaliser que M.Rat était remonté sur son épaule durant l'altercation, apparemment, il avait son soutien ! Solidarité masculine peut-être ! Enfin, au moins ça prouvait que le garçon était appréciait de l'animal... Rares étaient ceux qui ne l'apréciait pas en fait... Mais bon, il ne tenait pas à garder avec lui le charmant gentleman, puisqu'il comptait partir, maintenant qu'il vait le passage libre !

Il déposa donc de nouveau le rat sur l'épaule de la jeune fille avec un fin sourire, et se décida à partir vers son exploration qui promettrait sans aucun doute d'être plus qu'hasardeuse ! Mais n'anticipons pas ... Quand il s'était retourné vers le passage, il put s'apercevoir que la serp' c'était relevé, Ce qui rassura le jeune poufsouffle, il ne voulait tout de même pas lui faire mal... Il passa à coté d'elle sans un regard, et se décida à prendre vers l'escalier de droite tout en prononçant un minuscule "au revoir".

(niark niark c'est moi qui suis parti en premier XD !)

(chui dsl, j'ai vraiment pas le temps de poster en c'moment (devoirs communs très nombreux Fuite de la grande salle 02

alors je passe mon tour, tu peux poster Elisabeth.
Ce weekend, je serai plus active)

(Premier message du bourru de service, nyark Fuite de la grande salle 032

)

Aurélien venait de sortir de la Grande Salle, laissant à sa collègue le soin d’escorter les premières années jusqu’à la salle commune de Serdaigle. Les missions de ce type, très peu pour lui. En effet, il avait été nommé préfet. Comme si quelqu’un avait pu s’en douter un seul instant. Oui, comment se faisait-il que lui, le plus bourru des élèves de sa maison se retrouve à un poste où l’on attendait visiblement quelqu’un de diplomate ?

L’adolescent soupira. Vraiment, depuis le temps qu’il était à Poudlard, presque rien n’avait changé. La même directrice, les mêmes élèves sans intérêt. Quelques professeurs avaient quitté l’école et d’autres y étaient arrivés. Rien de plus normal après tout.

Ses yeux se posèrent alors sur deux jeunes filles qui lui bloquaient le passage. Une Serpentard et une Serdaigle. La fille de Serpentard avait son âge. Une certaine Elisabeth quelque chose si ses souvenirs étaient bons. Pour ce qui était de l’autre élève, elle devait être en première année car il ne l’avait jamais vue dans leur salle commune. Et, ce qui était plus qu’évident, c’était qu’elles ne se trouvaient pas ici pour se raconter leurs vacances. Pour lui, la situation ne faisait aucun doute : un agresseur profitant de ses quelques années de plus et une victime. Un sourire sarcastique s’afficha sur le visage d’Aurélien tandis qu’il disait :

« Et j’imagine que vous parlez de la coopération entre les maisons ? »

Le Préfet de Serdaigle était bien plus grand que les deux filles et il trouvait ça assez amusant. Sa dernière crise de croissance avait décidément été bien efficace et bientôt, il rejoindrait la haute stature de son père, c’était certain.

(dsl pour le retard mais j'étais pas là et puis... suis malade Fuite de la grande salle 25

)

Elisabeth ne jeta même pas un regard vers le garçon qui l'avait dépassée.
Elle était fatiguée de voir tout ce monde, enfin surtout de voir combien les première année était ennuyant.
Secouant la tête légèrement, elle fit voleter quelques courtes mèches devant ses yeux qu'elle ne prit même pas la peine de retirer.
Elisabeth n'aurait pas tarder à elle aussi partir en direction des escaliers si elle n'avait pas aperçu à ce moment un autre élève de son âge celui là.

La jeune fille l'observa un moment en silence, sa tête lui disait bien quelque chose mais de là à savoir remettre un nom sur ce visage c'était autre chose.
D'accord, question mémoire des noms elle était nulle. De toute façon, si elle ne s'en souvenait plus c'était qu'elle n'avait aucune raison de le faire.

Elisabeth sourit doucement à cet autre serdaigle.
Peut être que le jeu deviendrait plus amusant avec un élève plus vieux.
Pourtant, la jeune fille n'avait plus tellement envie de rester mais rein que pour voir elle se décidé à rallonger un peu sa visite du hall.

"Disons juste que coopération est un grand mot.
Nous faisons connaissance même si là encore c'est un bien grand mot." répondit elle d'une voix douceureuse mais ferme.

Elisabeth rejeta la tête en arrière, remettant ainsi à leur place ses quelques mèches rebelles et fixa la serdaigle avec toujours un petit sourire en coin comme pour l'encourager à dire le contraire pour pouvoir enfin s'amuser un peu.

Citation :: "Ma chère, je ne vs ai jamais empêchée de passer, c'est vous qui restez plantée là à me regarder bêtement."

La couleur blanche de son visage vira au rose
Si il y’avait une chose que Clélia ne supportait pas c’était bien qu’on la traite de « bête ».
Aussi, elle s’apprêtait à répliquer une remarque bien sentie lorsqu’un jeune homme fit son apparition.
Clélia se retourna et le dévisagea. Elle était si en colère qu’elle en oublia d’être discrète.
Le préfet de Serdaigle ! Il tombait bien !

Cette fausse politesse et les airs doucereux de la serpentarde -dont elle ne connaissait toujours pas le nom– commençait à lui taper furieusement sur les nerfs et même si Clélia s’énervait rarement, lorsqu’elle le faisait, ce n’était pas beau à voir.
Aussi, elle décida qu’il était temps de partir.

« Connaissance ? Ah non je n’crois pas » dit elle au serdaigle, « c’est juste que cette fille rester planter la à empêcher tout l’monde passer. Pour quelle raison ? Je ne sais pas, sûrement pour se faire le plus d’ennemis possible ! »

Elle se retourna vers la jeune fille et lui lança : « Que je vous renverse ou non, je m’en vais. Désolé mais je ne suis pas à Poudlard pour «bavarder » mais pour étudier ce qui ne semble pas être votre cas, chacun ses ambitions après tout ! A bientôt mais je ne l’espère pas. »

Ne trouvant pas du tout qu’elle y était allée un peu fort dans sa réplique, Clélia poussa la serpentarde d’un geste sec et une fois le passage libre, entreprit de partir d’un pas ferme et décidé…

(à toi de voir si tu me laisse partir sans rien dire ou pas… héhé)

Elisabeth Eternally a écrit:: "Disons juste que coopération est un grand mot.
Nous faisons connaissance même si là encore c'est un bien grand mot." répondit elle d'une voix douceureuse mais ferme.

« De grands mots pour la petite chose qui te sert de cervelle sans doute. » répliqua Aurélien d’un ton profondément moqueur et sarcastique. Les filles du genre de cette Elisabeth avaient réellement le don de l’énerver avec leurs tons doucereux et leurs manières absolument grotesques. Enfin l’énerver n’était pas le terme exact. Il les trouvait plutôt franchement distrayantes et ridicules. Il suffisait d’entrer dans leur jeu.

Le préfet de Serdaigle se tourna ensuite vers sa jeune camarade de maison qui semblait vraiment très remontée – on le serait pour bien moins que cela – contre la fille de Serpentard.

Un sourire s’esquissa sur le visage d’Aurélien tandis que Clélia exposait la situation. Une première année qui ne se laissait pas faire et qui avait du répondant, c’était toujours une excellente chose, on en manquait malheureusement trop souvent et en particulier à Serdaigle d’ailleurs.

Ce fut à ce moment que la jeune fille poussa Elisabeth d’un geste sec.

(Elisabeth VS Clélia, qui sortira gagnante du couloir ? Fuite de la grande salle 04

)

[deux contre un! Vous osez même pas m'affronter seul... d'accord je rêve Fuite de la grande salle 02

]

Elisabeth leva les yeux au ciel mais le sourre niais et si gentil reta sur ses lèvres tendis qu'elle regarda la serdaigle avancer vers elle.
Les jeunes n'étaient plus ce qu'ils étaient pas de doute la dessus. Et ce préfet de serdaigle, de quoi se melait il celui là?
On ne pouvait même plus discuter tranquille ici.

"Ah mais je n'en attendais pas moins d'une serdaigle. A près tout, il fat bien que vous soyiez doué pour quelque chose.
Mais ma chère, sachez aussi que je ne cherche pas à me faire des ennemis, j'établis un dialogue et vous ne tenez pas à le continuez est ce ma faute?

Et puis, je vous rassure. Question ennemi je ne me plains pas j'en ai déjà assez. enfin, vous allez me dire, une de plus ou de moins..."

Elisabeth n'eut pas d'autre hoix qu de se pousser pour laisser passer la serdaigle, elle laissa cependant échapper un petit rire sans se retourner vers la serdaigle elle ajouta lentement quelques mots.

"Ah mais tout le monde trait les serpentard de violent mais bizarrement je suis la seule à ne pas encore avoir utilisé mes mains. Mais c'est vrai que la fuite est la meilleure défense."

Elisabeth se tourna ensuite vers le préfet tout en poussant un léger soupir.
La discussion l'ennuyait ferme mais se laisser insulter par ce préfet il ne fallait pas y compter!

"Que veux tu, tout le monde ne peut pas être aussi intelligent que toi.
Mais bon, heureusement que je n'ai pas besoin de grand chose pour tenter la coopération entre maison."

C'était une insulte à peine déguisée mais la jeune fille n'en avait cure.
Elle replaça une mèche de cheveux derrière son oreille d'un geste gracieux et fixa son regard sur le préfet en attendant une réponse d'un des côtés. Ils n'allaient sûrement pas en rester là.

[A vous de voir qui reste!]

(olaaa ça devient serieu ! Fuite de la grande salle 07

)

Son pied posé sur la première marche de l'escalier, Clélia s'arrêta.

Deux solutions étaient possibles.
Ou elle continuait son chemin sous les colibets de cette serpentarde en tentant des les ignorer, ou elle revenait en arrière pour lui répondre.

Clélia serra les poings.
Cette fille l'énervait mais à un point !

Et le pire, c'est que cette idiote gardait son calme, maitrisait parfaitement la situation, se tenait la, hautaine et méprisant envers tous ceux qui ne portait pas un écusson vert et argenté.
Clélia ne supportait pas cette mentalité.

Aussi, avant même d'avoir réfléchit, ses jambes -en entendant le mot "fuite"- l'entrainèrent vers elle.

"Votre conversation est si déplaisante que je ne peux m'empécher de fuir votre présence et question violence, même un enfant de cinq ans en viendrait aux mains pour vous faire taire."

Ses yeux plantés dans ceux de la serpentarde, Clélia les détourna une seconde regarder le préfet qui venait aussi de se faire insulter, question âge, il était à égalité avec elle et pourrait facilement avoir le dessus sur cette fille.

(En effet ! Fuite de la grande salle W2

)

Le sourire narquois d’Aurélien s’agrandit plus encore aux paroles de cette fille de Serpentard, décidément franchement pathétique.

« Mais on dirait que notre pauvre petite couleuvre égarée tente de se faire vipère… Vois-tu, la différence entre toi et une vraie vipère, c’est que toi, tu n’utilises que des mots ou des remarques qui sont censées nous faire peur ou nous mettre en colère. Tu es incapable de cracher un vrai venin et j’en suis vraiment triste pour toi car ça ne te permettra pas d’avancer. Pas longtemps tout du moins. »

Aurélien adressa alors un sourire complice à Clélia avant de lui dire, en regardant Elisabeth à la manière dont certains anciens Serpentard se chargeaient d’observer leurs elfes de maison :

« Vois-tu très chère, je te propose que nous quittions ce couloir qui sent mauvais le reptile crevé. C’est très mauvais pour mon teint de pêche et comme je me suis fais un masque il y a peu de temps… Fuite de la grande salle 14

»

(je m'en vais sur les monts enneigés à partir de demain et jusqu'à samedi prochain... on fait une pause ? Fuite de la grande salle 02

C'est comme vous voulez, soit vous n'avez pas la patience de m'attendre et vos persos peuvent partir (en passant mon tour bien entendu) ou vous m'attendez et on finit cette action ensemble Fuite de la grande salle 01

A vous de choisir mais quelle que soit la réponse, je m'en contenterai.

A plus tard !! Fuite de la grande salle 01_4

)